Grâce à une meilleure gestion de l’ensemble allumage - alimentation (TPS) et de nouveaux arbres à cames, le berlingot possède un caractère moins brutal. Il distribue puissance et couple d’une manière plus linéaire que la version précedente, aidé en cela par une boîte douce (au même titre que la transmission finale) et bien étagée. Résultat : une reprise possible en cinquième dès 2000 tr/min.

Sur route, la partie-cycle modifiée fait des merveilles. Cadre et suspension collent les pneus au bitume quel que soit l’état de la route. Le train avant gagne en précision et vivacité à tel point que l’on en oublie les 244 Kg (pleins fait) de la Suzuk. Le nouveau carénage, n’offre toujours pas un rempart satisfaisant lors d’excursions autoroutières. Néanmoins, la protection générale progresse par rapport à la version précédente. Les étriers six pistons (contre quatre précédemment) n’affichent pas un mordant de sportive en début de course, mais offrent un freinage progressifs et puissants.

Moto Magazine No 169

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