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La lignée des KMX

Le modèle est présenté en 1986. Il prend avec panache la relève de la vieillissante KE.

Sa conception très moderne le place d’emblée au sommet de la catégorie (deux disques de frein, valve à l’échappement, refroidissement liquide). Il n’en sera détrôné qu’en 93 avec l’apparition de la KDX 125. Hormis les coloris, le modèle est inchangé depuis sa sortie, gage de valeur sûre. La lignée s’arrêtera avec la dernière version de 2000 à 2002 légérement retouchée côté look.

Points à surveiller

Sélectionner avec soin une moto qui n’a pas goûté aux séances d’initiation au TT.

Celles-ci laissent beaucoup de rides (rayons détendus ou cassés, radiateur perforé, amortisseur et fourche usés...). Le moteur se montre plus endurant que les autres mono cylindres deux-temps sportifs. La segmentation résiste plus de 20 000 km et le premier réalésage n’intervient qu’à partir de 40 000 km.
- C’est à cette même période que l’embrayage commence à donner des signes de fatigue. Sur une telle machine, vérifiez bien que ces opérations ont déjà été réalisées, sous peine de facture salée (environ 3500 F le tout !). Le reste de la machine supporte bien les outrages du temps.
- Seul le pot rouille de partout, mais il ne se perce heureusement pas. Évitez les machines dites "débridées".
- Elles consomment 1,5 litre en plus tous les 100 bornes et nécessitent des boules Quies pour conduire... En plus, la mécanique devient capricieuse et les séances de kick ou de poussette fastidieuses.

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