La FFMC maintient la pression

Pour éviter un revirement de position, la FFMC a décidé également de lancer, parallèlement, une procédure de « recours en excès de pouvoir » auprès du Tribunal administratif de Versailles.
Cette voie juridique n’avait pas pu être utilisée auparavant, en raison du dépassement des délais légaux (le projet du tunnel date de 1995). La voie diplomatique reste à privilégier, mais la FFMC ne veut perdre aucune possibilité pour lever l’interdiction d’accès aux deux-roues motorisés.

(*) Dominique Bussereau avait posé les conditions suivantes : avoir un retour d’observations du trafic composé d’abord uniquement de voitures particulières et valider les système de télésurveillance des véhicules.

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