Un appel aux médias qui, jusqu’à maintenant, n’avait pas trouvé d’écho : « Nous avions contacté les grandes chaînes de télévision, et rien. À croire qu’il faut un drame pour que les médias s’intéressent à nous. » Après une semaine de silence, quelques radios et une télévision régionale se penchent sur le problème.

Lundi matin, un représentant du Conseil régional de l’Auvergne et un conseiller de la Banque de France sont venus discuter d’une solution. La seule issue de secours : un racheteur qui voudrait délocaliser l’entreprise en Tunisie. « Nous, ce qu’on veut, c’est que l’entreprise reste française avant tout », s’insurge Nicolas Gonzalez.

Pour connaître son sort, la société se présente le vendredi 12 février au Tribunal de commerce de Clermont-Ferrand. Si aucune solution viable n’est présentée, l’entreprise serait placée en liquidation judiciaire.

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