En images

Choisir ses poignées chauffantes : mal vu, mauvaise dimension Choisir ses poignées chauffantes : le bonheur Choisir ses poignées chauffantes : l’étanchéité Poignées chauffantes : au bonheur des mains !

Tradition : les poignées chauffantes à demeure ne grèvent en rien le look. Il faut vraiment un œil attentif pour en deviner la présence. Seul l’interrupteur de commande peut faire « tâche ».
Avantage : ces poignées servent également les fraîches matinées d’été ou quand il pleut.

À regarder de près

Diamètre : en majorité, les guidons font 22 mm de diamètre. Les poignées chauffantes aussi. Veillez seulement à ne pas opter pour des modèles destinés aux Harley (guidons plus gros).

Interrupteur : dans sa version basique, il n’a que deux positions (on et off). Ça peut suffire, sauf si la poignée chauffe trop par rapport à la température externe.

Il faudra alors constamment allumer et éteindre pour éviter de se brûler. Plus cossus, certains disposent de trois positions (on, slow et high) avec un judicieux niveau intermédiaire.
Comble du luxe, le rhéostat, mécanique ou électronique (haut de gamme), permet un réglage aux petits oignons. Quel que soit le modèle, la commande doit être large pour rester manipulable avec des gants d’hiver.

Témoin : une petite loupiote est un plus pour savoir si le dispositif est sous tension.

Câble d’alimentation : veillez à sa longueur si la batterie est éloignée du guidon.

Enfin, sachez que les poignées les plus cheap, en plastique et non en caoutchouc, peuvent se montrer inconfortables.
Par ailleurs, une durée de garantie importante constitue un vrai plus faute de réparation possible (la résistance est moulée dans la masse de caoutchouc).

Publicité
Infos en plus