Les deux Motards d’Or du jour autour de François Vuitton (coordinateur de la FFMC 54) : Louis Kohler, ancien Mr Moto (à droite) et René Mangin, vice-président du Conseil Général de Meurthe-et-Moselle (deuxième en partant de la gauche)

Les festivités, réunissant une quarantaine de motards, ont eu lieu le samedi 2 juin 2007 dans le parc de la forêt de Haye, près de Nancy.
En début d’après-midi, un rallye touristique a été organisé autour de la ville de Stanislas. Tout au long des quarante kilomètres du parcours, les participants ont du répondre à des questionnaires sur l’histoire de la FFMC, les infrastructures et le département...

Place ensuite à la remise des « Motards d’Or » afin d’honorer des partenaires de l’antenne qui ont su intégrer les problématiques des 2RM dans leurs actions quotidiennes.
Le premier trophée est décerné au Conseil Général de Meurthe-et-Moselle, pour son plan pluriannuel de doublement des glissières de sécurité. Le second « Motard d’Or » a rendu hommage à l’ancien « Monsieur Moto » de la direction de l’Equipement, Louis Kohler, qui a beaucoup fait pour la reconnaissance de la FFMC 54 par les institutionnels. Louis s’est fortement investit pour qu’un Relais Calmos soit organisé chaque année à l’occasion du Bol d’Or. Autant dire que ces prix ont permis de mettre sous les feux de la rampe, un travail de longue haleine aussi indispensable que méconnu par les adhérents : le lobbying auprès des décideurs locaux.

L’orage n’a pas découragé cette adhérente et sa fille de participer, au guidon de leur Goldwing 1800, au rallye ni de répondre aux questionnaires soumis à chaque étape du parcours.

Lors de l’assemblée générale qui a suivi, François Vuitton, coordinateur de l’antenne, a tiré un bilan globalement positif de la décennie passée : succès des actions telles que la journée des élus ou la prise en main de printemps, forte mobilisation lors des dernières manifestations, création de l’AFDM 54... Les sujets de satisfaction n’ont pas manqué. Mais ils n’ont pas occulté le problème principal qu’est le différentiel entre le nombre d’adhérents et le nombre de motard bénéficiant au quotidien du travail de la FFMC.

Un problème aussi bien local que national pour lequel les militants présents se sont dit prêt à s’investir encore plus et à trouver de nouveaux modes d’action.

Enfin, tout le monde s’est retrouvé autour d’un repas pour fêter la décennie passée, imaginer la prochaine... et, aussi, pour le simple plaisir d’être ensemble.

Raphaël Bary (correspondant 54)

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