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Essai Triumph Speed Triple 1050 - la brute

Essai : sur la nouvelle Triumph 1050 Speed Triple, le travail n’a pas été porté sur la recherche du gain de microgrammes ou de quelques poneys supplémentaires. Les choix sont plus pragmatiques. Description et choix techniques en vidéo.

Les évolutions dont bénéficie la 1050 Speed Triple sont pertinentes et vont améliorer le quotidien de ses futurs propriétaires. Malgré son statut de « roadster sportif », la Triumph n’est pas tombée dans le panneau du body-building, mais s’est plutôt orientée vers l’agrément général.

La nouvelle Speed reste un roadster affûté et Triumph a un peu travailler la performance, notamment le nouveau freinage avant du genre costaud. À l’usage, la fermeté au levier est plus franche qu’auparavant et question puissance, un petit « plus » peut se faire sentir mais c’était déjà très bien avant. Attention sur l’angle ils tendent alors à élargir la trajectoire. Sur les petites routes, l’empattement court et l’angle de colonne fermé inchangés apportent précision et vivacité. La position de conduite et le moteur sont identique au précédent modèle. La sélection de boîte a été revue et cela se sent particulièrement en conduite urbaine, à bas régime, où les passages de vitesses se font plus doux (mais pas moins bruyants).

Le confort du passager a été peaufiné. « Sa » selle s’allonge de 2 cm, ses repose-pieds descendent de 5 et une petite bosse aménagée sur l’avant de l’assise lui évite maintenant de glisser vers le pilote au freinage. La Speed ne devient pas pour autant une GT, mais l’effort mérite d’être salué. Le réservoir, auparavant en plastique, est en acier, offrant une contenance accrue, un poids en baisse et surtout la possibilité de placer une sacoche magnétique. La finition d’ensemble et la « qualité perçue » ont nettement progressé. La Speed fait plus cossue au premier regard.

Article complet dans le prochain Moto Magazine (mai 2008)

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