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Bien vu : double serrage et aérations Mal vu : rigidité et rivets blessants

La zone de couverture

L’avènement de la norme 1621-2, qui statue également sur ce point, a eu pour effet de mettre au rancard les dorsales lilliputiennes.
Une vaste zone de couverture est importante car si elle préserve de l’abrasion du bitume, elle diminue surtout la pression au mm2 en répartissant l’impact.

Le principe de fonctionnement d’une dorsale est de transporter, du canal rachidien vers les parties molles du corps, l’énergie de cet impact.
Une dorsale qui ne couvre que la colonne vertébrale est d’un intérêt limité. Les modèles les plus sécurisants recouvrent jusqu’à l’épaule et la clavicule.

Le maintien

Les bretelles ont un rôle de portage en mode piéton. Le bon maintien de la dorsale, pour éviter de découvrir le rachis en cas de glissade, revient en fait à la ceinture abdominale et à l’éventuel second serrage situé au niveau du sternum. Un modèle à serrage unique sera toujours plus enclin à se déplacer. Il faut donc bien veiller à ce point.

Chaud et froid

Bienvenue en hiver pour se préserver du froid, la dorsale peut provoquer une sudation excessive en été.
Pour résoudre ce problème, certains fabricants y intègrent une doublure respirante ou des canaux de circulation d’air.
Utile pour ne pas négliger sa sécurité sous prétexte de canicule.

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