La polyvalence

Si le C3 est dédié au touring et le désormais feu S1 Pro au tourisme rapide, le S2 est présenté comme un intégral très polyvalent, couvrant un champ d’utilisation allant de la ville à usage occasionnel sur circuit.

Malgré une accessoirisation poussée (pare-soleil, jugulaire à crémaillère, Pinlock...), le S2 reste d’un poids modéré. L’étiquette apposée sur le spécimen disponible lors de la présentation indiquait 1450 g (taille L).

Huit tailles de casque

Deux dimensions de coques – en multifibres – suffisent pour fournir 8 tailles (de XXS à XXXL). « Fabriquer une troisième coque, de dimension intermédiaire, aurait nécessité un investissement qui aurait forcément impacté le prix de vente de quelques dizaines d’euros », précise Erwin Van Hoof, le vice-président de la firme basée à Magdeburg.

Disponible dans les points de vente – et à l’essai dans les Schuberth Center – depuis une quinzaine de jours, le S2 est commercialisé au tarif de 499 €. Un tarif élevé, justifié par « l’investissement nécessaire au développement (18 mois) et le coût de la main-d’œuvre, les Schuberth étant fabriqués en Allemagne », poursuit M Van Hoof. Les versions bicolores, disponibles à partir de cet été, seront proposées à 579 €.

Ses concurrents « premium » – X-Lite X-702, Shoei XR 1100, Arai Quantum, etc. – doivent-ils craindre ce modèle prometteur ? Réponse à l’issue de notre test dans Moto Magazine.