Bon, Beaulieu est un poulet confirmé, donc fier de servir l’Etat, comme le prouve la couverture de l’ouvrage… Renseignement pris, l’auteur n’est pas sponsorisé par la maison poulaga, il est juste employé. Personne n’est parfait, n’est-ce pas, l’important reste que, quand on plonge dans ce roman, on en sort à la lecture du mot fin, encore tout ébouriffé comme après avoir tourné la poignée de gaz.

Tout juste revenu de mission, Pierre Beaulieu comptait bien se la jouer farniente et romance avec Patricia, sa superbe compagne et partenaire. Il faut dire que cette fois notre commandant préféré a dû naviguer en solo pas mal de temps ! Et que malheureusement, il n’y a JAMAIS de repos pour les héros…

Un certain Archibald de la Mornepatte, fabricant d’armes de son état s’est lamentablement fait piquer les plans d’un projet européen archi-top-secret visant à remplacer rien de moins que l’arme nucléaire. Si, si… Et que ce Mornepatte est envoyé par le Grand Taulier himself… Qui ? THE premier personnage français, t’as déjà oublié ?

Bien entendu, il fallait bien quelqu’un pour enquêter, non ? Surtout que le voleur est une espèce de Ghost Rider, un type mystérieux sur une moto supersonique. Heu… C’est pas dans les cordes de notre redoutable duo, ça ?