Alors que les psychiatres nous expliquent que les baby-boomers sont d’une génération qui ne veux pas vieillir, nous autres motards, qui nous précipitons à cette fête si conviviale semblons leur donner raison. Peut-être n’arrivons-nous pas à assumer que la passion qui fut presque un mode de vie qui se transforme en un loisir.

Alors l’espace de quelques jours, nous retrouvons nos codes, nos vieux potes, notre culture quoi... et ça fait du bien. Rouler en moto est un art de vivre quelle que soit la machine. Les manifestations telles que celle-ci permettent, à ceux qui découvrent la moto aujourd’hui, de sentir un peu de cette odeur et de cette musique qui transforment, l’espace d’un instant, ces visiteurs plus très frais en adolescents étonnamment immatures.

Publicité

Commentaire (0)