Sujet

Axel
le 12 janvier 2016 à 14:39

BMW S 1000 RR : l’hélice à réaction

Entièrement remaniée, la S 1000 RR repousse encore d’un (gros) cran le curseur de l’efficacité pure. Cette BMW version « 2.0 » est une réussite ! Voici notre essai.

Lire l'article
Tous les messages

Lonewolf

le 15 janvier 2016 à 12:14

BMW S 1000 RR : l’hélice à réaction

Il est souvent possible de gagner des centaines de grammes sur les jantes voire sur le BO. Et ça a toujours un effet très bénéfique sur l’agilité de la moto.

Répondre à ce message

FRED

le 15 janvier 2016 à 10:28

BMW S 1000 RR : l’hélice à réaction

ça m’etonnerait qu’ils aient gagné grand chose sur les roues, le modèle précédent n’étant pas équipé de roues en fonte...

Quant au couple, même avis que toi. Et même sur piste, sauf à avoir déjà un très gros niveau (genre championnat de France sbk), ça doit pas changer grand chose au chrono.

Répondre à ce message

Lonewolf

le 15 janvier 2016 à 07:56

BMW S 1000 RR : l’hélice à réaction

Si les 4 kg sont prélevés sur les parties non-suspendues, ça se sent ! La moto est nettement transformée dans son comportement. Mais ces quelques chevaux de plus pour un couple haut perché à plus de 10.000 trs/mn, c’est usage purement et strictement de l’usage "piste". Sur la route, à moins de ne faire que des trajets courts, c’est carrément désagréable.

Répondre à ce message

FRED

le 14 janvier 2016 à 23:58

BMW S 1000 RR : l’hélice à réaction

tout à fait d’accord avec toi. Et puis les 6ch en plus (c’est la différence d’un banc à un autre...) et les 4 kg en moins, qui s’en rend compte parmi le commun des mortels ?

Répondre à ce message

Lonewolf

le 14 janvier 2016 à 11:14

BMW S 1000 RR : l’hélice à réaction

Dommage qu’ils aient cherché la puissance à tout prix, surtout au prix d’une perte d’usage sous 7.000 tours (quand même !). OK pour une moto destinée principalement au circuit, du style "compé-client". Mais sur la route, un moteur creux finit par devenir saoulant.

Répondre à ce message