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David Anser
le 10 août 2016 à 17:09

18 000 km au guidon d’une Mash Two Fifty pour relier Pékin à Paris

Mash entend asseoir la réputation de fiabilité de ses petites motos en communicant sur des voyages au long cours. Dernière déclinaison, un Pékin-Paris effectué par deux motards allemands au guidon de deux Two-Fifty.

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FPW46

le 18 août 2016 à 09:58

18 000 km au guidon d’une Mash Two Fifty pour relier Pékin à Paris

J’ai essayé la MASH 400

Tout en regrettant l’astuce marketing visant à faire croire qu’elle est une 500, c’est à priori une petite machine bien sympathique et bien adaptée aux conditions de roulement de notre époque (elle tient le 130 avec un peu de réserve donc plus polyvalente que mon ancienne Enfield 500 moteur fonte gonflée)... Seul reproche un freinage déficient auquel il est facilement porté remède : durit aviation pour le "feeling" et plaquettes un peu plus tendres (modifications effectuées sur la machine d’essai par le concess "pour voir")...

En ce qui concerne les garanties ce n’est pas mieux pour des machines bien plus chères et en regard des obligations légales comme la garantie contre les vices cachés... Voir les tribulations de certains béhèmistes avec les problèmes d’ABS de leur bécane... Et les nombreux "rappels" de modèles chez toutes les marques (comme si les essais étaient désormais trop écourtés pour s’apercevoir de certains problèmes et le contrôles-qualités passés à l’as...).

Je n’ai rien contre la cylindrée de 250cc à priori, surtout pour un usage urbain... Je doute qu’elle soit par contre idéale pour la polyvalence d’usage et la différence de prix avec une 400cc m’apparaît perso un peu mince pour se priver de la cylindrée supérieure... Enfin les concess ont souvent la mauvaise habitude de ne pas se battre avec les fabricants ou les importateurs pour défendre efficacement l’intérêt de leurs clients...

En cas de difficulté une prise de contact direct avec le fabricant ou l’importateur s’impose...

FPW

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Nikopol

le 12 août 2016 à 14:54

18 000 km au guidon d’une Mash Two Fifty pour relier Pékin à Paris

Il y a dix ans, Moto Mag nous parlait d’un autre périple, de deux doux rêveurs partis de Phnom Penh pour rallier Paris, soit 25.000 km en six mois sur des 125 YBR. J’avais beaucoup aimé suivre les pérégrinations des deux compères : http://www.motomag.com/+Les-reves-partis-sont-bien-arrives-0916+.html

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Pierre

le 11 août 2016 à 16:10

18 000 km au guidon d’une Mash Two Fifty pour relier Pékin à Paris

Je ne doute pas des qualités de mécanicien du joyeux commentateur anonyme, je dis seulement que quand une moto sous garantie flingue un roulement de roue puis une semaine plus tard les joints spy de fourche et que ni le concessionnaire ni la marque (d’après ce dernier) ne se sentent concernés, je change de crèmerie avant qu’autre chose ne me reste sur les bras ! Pourtant j’aimais bien cette moto ... Mais pour aller bosser, j’ai pas le temps de rester en panne.

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Anonyme

le 11 août 2016 à 14:41

18 000 km au guidon d’une Mash Two Fifty pour relier Pékin à Paris

12000km pour des roulements de roue ça n’est pas beaucoup c’est vrai, mais il suffit de monter soi-même des équivalents de bonne qualité pour quelques dizaines d’euro et le tour est joué. De plus, en 35 ans de moto, j’ai cassé des moteurs et j’ai changé des roulements de colonne, des amortos et des roulement de roue arrière sur des motos japonaises bien plus chères (ex : 350 LC -> vilo à 35000, 125 dtmx -> piston planté ds culasse par aiguilles roulement de bielle, suzuki bandit 1200 -> 2 amortos arrières en 1 an, , suzuki 240 TSX -> roulements de colonne tous les ans, yam 600 xt -> idem, etc) et même européenne (620 duke -> embiellage à 40000, 950 KTM SM -> roue libre de démarreur à 5000, pompe à essence à 20000, roulements de roue arr et de colonne à 59000km :)). Et je ne parle pas des Ducati à 30000€ avec de la visserie qui rouille à la première pluie, des bouts de carénage qui cassent avec les vibrations, des joints spi HS à 19000 (merci Ohlins), etc etc etc Bref, tout ça dépend de l’usage, du passage au karsher, de la qualité d’origine. Je ne pense pas qu’une petite Mash qui couine du roulement de roue à 12000 soit une mauvaise machine juste pour ça :)

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saxel

le 11 août 2016 à 10:26

18 000 km au guidon d’une Mash Two Fifty pour relier Pékin à Paris

Chez les "motards anciens ou les anciens motards", enfin ceux qui ont l’âge de la retraite, on en parle comme ça ;

Dans un magasin de Coignières ...

Il faut dire que personne du magasin ne m’ a encouragé ; je suis passé devant un mec à la caisse qui m’ a dit "bonjour", c’est déjà ça...
J’ ai regardé la bête puis suis sorti "au revoir" sauf que je sortais pour regarder les autres Mash en 250 CC.
Je suis donc à nouveau rentré "Bonjour Monsieur" et suis resté environ 15 à 20 minutes à relooker la chose et prendre connaissance des prospectus publicitaires.
J’ ai fini par ressortir sans demander le moindre renseignement.
ça tombe bien remarquez, je n’ avais pas envie de l’ acheter leur moto
Mon opinion elle est sympa cette bécane, tu te demandes juste si c’ est du solide car certaines pièces et finitions paraissent un peu bâclées.
Peut être que je vais finir par l’ essayer.’(modèle adventure)

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Pierre

le 11 août 2016 à 09:40

18 000 km au guidon d’une Mash Two Fifty pour relier Pékin à Paris

La qualité s’est peut-être améliorée mais je peux quant à moi témoigner d’un autre son de cloche. J’ai acquis une Mash 250 en septembre 2014 pour mes trajets quotidiens boulot-dodo (60km/jour) et si je reconnais que la moto est très sympa à conduire, j’ai eu à déplorer le changement des roulements roue AV et les joints spy de fourche à 12 000 km en mai 2015 . Le tout à mes frais car il m’a été répondu par le concessionnaire que c’était des pièces d’usures et qu’elles étaient hors garantie ! J’envisageais d’acquérir une Mash 400 mais j’ai passé mon tour, revendu la brêle avant qu’autre chose de parte en sucette et changé de marque ! Dommage

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