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Pascal le 21 décembre 2009 à 16:58 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’ÉtatSelon un rapport sénatorial concernant le projet de loi de finance 2010, avec un budget alloué par le gouvernement en baisse, l’état des routes dans toute la France n’est pas près de cesser de se dégrader. |
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Anonyme le 14 janvier 2010 à 11:09 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’Étatpourquoi ne pas bouger !au lieu de chercher à qui,et pourquoi la faute.pendant ce temps ça continu !!ils vont toujrs trouver l’excuse anti-2roues !chez moi c’est +que lamentable !entre la boue des cultivateurs,les graviers en plein virage(90degres)il ya la merde de chevaux !!! car ces messieurs on le droit de laisser leur m.. sans etre inquiétés ! les autorités ,y compris les élus on été informés !(sans suite:ta ka rouler en 4roues) !!!je suis du 62111,et je peux vous dire qu’ils en ont rien à battre !!les gars bloquent la route(4-4)pour rentrer leur tank !!ainsi de suite... |
Anonyme le 10 janvier 2010 à 21:32 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’ÉtatIl vaut mieux mettre la chape de plomb et racketter les citoyens que d’investir dans la sécurité. Est ce qu’un petit rond point est plus intéressant en matière de dessous de table ?... |
Anonyme le 8 janvier 2010 à 21:16 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’Étatlorsque l’on voit l’état des centres-bourgs, on ne peut pas dire que l’état y est pour grand chose, depuis 8 jours, les deux rue principales d’un petite village d’Indre et loire n’ont pas été dégagées, et les endroits les plus dangereux sont de vraies patinoires, c’est la municipalité qui n’a pas fait son boulot et si par malheur il devait y avoir un accident c’est sa responsabilité qui devrait être recherchée ! |
Anonyme le 3 janvier 2010 à 13:32 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’Étatlà, tu pousses le bouchon un peu loin. On peut etre favorable à la politique de d’un bord ou de l’autre. Mais dire qu’ils ont la meme politique, faut pas abuser : franchises sur les medicaments, radars automatiques, jou travaillés gratuitement, ça commence à faire pas mal. |
Anonyme le 3 janvier 2010 à 13:28 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’État"le transfert des taxes que percevaient l’état est lui définitif" : tu peux citer tes sources stp ? |
Anonyme le 31 décembre 2009 à 07:06 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’ÉtatC’est au contraire un problème purement politique et idéologique à la base : on baisse les impôts uniquement pour favoriser les 10% les plus riches et l’on se moque des conséquences. Quand on discute en se demandant si l’on doit créer des emplois jeunes, réduire le temps de travail ou bien au contraire créer un CIP ou favoriser les heures sup on peut débattre et se demander ce qui est le mieux pour contrer le chomage. Quand on voit apparaitre des trous mortels dans les routes, et quand on voit des personnes âgées obligées de refuser certains médicaments à la pharmacie car ils ne sont plus remboursés, il n’y a pas à débattre et à être pour parce qu’on se dit de droite et contre par ce qu’on est de gauche... C’est inacceptable et on sait à quoi c’est dû... |
Anonyme le 31 décembre 2009 à 06:45 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’ÉtatA Pierrot84 : Pour compenser, le gouvernement a refilé le bébé aux régions : c’est doublement pratique, car l’entretien ne dépend plus du financement de l’état (de droite) mais des régions (toutes de gauches à part une...). C’est honteux car il y surement eu déjà de nombreux motards tués à cause de l’état des routes (j’ai déjà vu des trous de 30cm de profondeur et 60cm de large non rebouchés, non signalés : chute brutale assurée si l’on passe dedans) |
Anonyme le 26 décembre 2009 à 12:00 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’Étatparceque tu crois que tel ou tel camp , ça va changer quelque chose ?
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Anonyme le 24 décembre 2009 à 16:12 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’ÉtatQue ce soit Pierre, Paul, ou Jacques, on s’en fout ! Le constat est clair. Les routes françaises se dégradent, ne sont pas entretenues, et la sécurité des usagers est en danger. Les responsables de nos infrastructures ne font pas leur boulot ; incompétence, fainéantise, détournements de fonds, irresponsabilité, pots-de-vin, voilà la réalité ! Sans parler des périodes hivernales durant lesquelles les sociétés d’autoroute découvrent qu’il peut neiger en hiver, et qui empêchent leurs usagers de circuler parce qu’elles ne mettent pas tous les moyens en oeuvre pour assurer la libre circulation des cochons de payeurs ! J’en ai plus qu’assez de ces fonctionnaires, technocrates, et sociétés d’autoroutes qui nous prennent pour des cons en se renvoyant la balle. Ces messieurs-dames ne font pas leur boulot, ou plutôt, le font très bien ; le but est de dépenser le moins possible, histoire de préserver les acquis sociaux d’une bande de branleurs, et les intérêts financiers de sociétés privées dont le seul but est le profit à outrance. Quand l’irreponsabilité de ces intervenants se combine à l’aveuglement des ministères, alors là, on frise l’indécence. Joyeux Noël à tous ! |
Anonyme le 24 décembre 2009 à 11:54 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’ÉtatComme le sujet m’intéressait pas mal, j’ai fouillé dans le projet de loi 2010, il est prévu au crédit 456 millions d’euros pour l’entretien et le développement du réseau routier national. Le texte indique que la majorité de la somme est destiné à l’entretien de ce réseau. http://www.senat.fr/rap/np08_11/np08_111.html On supposera que cette somme, importante en soi, doit être inférieure aux sommes dépensées par les collectivités locales qui assuraient déjà l’entretien de leur réseau. L’état a 11800 km de routes nationales et 1100 km d’autoroute non concédé sur les 966 000 km de voirie bitumée en France. Le trafic est certes bien moins important sur du communal que du national mais l’entretien n’y est pas moins important. |
Anonyme le 24 décembre 2009 à 10:47 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’Étatsauf qu’apparemment, la compensation ne concernait que les années 2007 et 2008. Maintenant, les départements se débrouillent avec leurs propres moyens |
Anonyme le 23 décembre 2009 à 21:56 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’ÉtatLe calcul doit être plus compliqué que ça et certains départements doivent toucher plus tandis que d’autres touchent moins. Après il faudrait savoir ce qui était du ressort de l’état avant la décentralisation. Sur le site "vie-publique.fr", il semblerait que cela ne concerne qu’une partie du réseau des nationales. "Le ministre des transports a présenté, le 25 juillet 2005, la carte du futur « réseau routier national », partie du réseau qui restera sous la responsabilité directe de l’Etat quand auront été transférés aux départements environ 18000 km de routes nationales. Ces transferts, prévus par la loi du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, ont été établis après concertation avec les départements, ils seront fixés par un décret dont le texte a été transmis au Conseil d’Etat pour avis. L’Etat ne sera responsable que du « réseau principal structurant » constitué des seules routes et autoroutes porteuses de trafics à longue distance, desservant de grandes villes et considéré donc comme essentiel pour l’économie nationale." En cherchant des infos sur la dotation générale de décentralisation, j’ai trouvé qu’en plus du financement "en liquide", l’état a transféré aux régions les taxes comme la TIPP, les cartes grises et d’autres sources de prélévement qui ne sont plus versé dans le pot commun des finances publiques. |
Anonyme le 23 décembre 2009 à 21:43 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’ÉtatD’un autre côté c’est l’IdF qui décroche le ponpon du matraquage fiscale (on est au top des augmentations de carte grise il me semble non ?) et des dépenses de fonctionnement (frais de com multiplié par trois ou quatre et on parle en millions d’euros, frais de réception multiplié dans les mêmes proportions, etc.). JP Huchon accuse la RATP de ne pas régler le problème du RER (ils doivent être mal payés les conducteurs...sic) mais il oublie que c’est lui qui finance la RATP et la menace de privatiser des lignes tout en lui demandant de faire mieux avec moins. C’est quand même lui le patron du STIF. On peut trouver plein d’exemple pourris de la gestion de la gauche tout comme on pourrait trouver plein de témoignages à charge contre le méchant gouvernement. |
Anonyme le 23 décembre 2009 à 17:01 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’ÉtatLes collectivités locales sont le premier investisseur public en France. L’État transfère aux collectivités territoriales des compétences qui sont compensées au centime près. |
Anonyme le 23 décembre 2009 à 14:22 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’ÉtatJe suis pas spécialiste non plus, mais avec les informations que j’ai pu trouver sur le sujet de l’entretien des routes (quel motard n’a pas manqué un jour de chuter à cause d’un nid de poule, d’une chaussée déformée ou "bien gravillonnée" après réfection), je pense effectivement que les sommes allouées peuvent être un sujet de discussion. Quand on sait qu’un rond-point coûte entre 150000 et 800000 euros selon sa taille (chiffres de 2007), on peut se dire qu’avec les 185 millions que tu cites, les régions ne vont pas aller bien loin : si mon calcul est bon, ça ne fait pas 2 millions par département. Pas lourd, quand même... |
Anonyme le 23 décembre 2009 à 14:01 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’ÉtatJ’avoue ne pas être un spécialiste et j’hésite à parler d’un sujet que je ne maitrise pas, même partiellement. J’ai plusieurs fois entendu ces "problèmes" de financement. Il semblerait que la loi de décentralisation du 13/08/2004 attribue 185 millions d’euros de dotation aux régions. Je cite un document du ministère de l’équipement : "Pour exercer leurs nouvelles missions, les départements disposent d’une compensation financière correspondant à la totalité des ressources que l’État consacre aujourd’hui à la gestion des routes qui leur seront transférées. Les modalités de calcul de la compensation financière attribuée à chaque département sont fixées par un décret publié le 30 décembre dernier au Journal officiel. Ce décret avait préalablement été examiné par le Conseil d’État et avait reçu l’avis favorable de la Commission consultative d’évaluation des charges (CCEC), composée à part égale d’élus et de représentants de l’administration, et du Comité des finances locales. La transparence et l’équité de la méthode utilisée ont notamment été soulignées. Ce sont près de 185 millions d’euros qui seront attribués chaque année aux départements pour la gestion des routes transférées sans compter les crédits destinés à la rémunération des personnels transférés qui seront naturellement également versés aux départements. La dotation attribuée à chaque département varie en fonction de la nature du réseau transféré (linéaire et largeur des voies, nombre et surface des ouvrages d’art, équipements, etc.) et de son environnement (zones climatiques, altitude)." |
Anonyme le 23 décembre 2009 à 13:41 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’ÉtatBen non, justement, l’Etat a décentralisé les routes, mais pas forcément les moyens nécessaires pour les entretenir. C’est bien là que se situe l’un des problèmes, si j’ai bien compris ! |
Anonyme le 23 décembre 2009 à 06:50 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’ÉtatElles font quoi de leur allocation les collectivités locales ? En décentralisant, l’état a reporté les budgets et, que je saches, le réseau n’a pas doublé entre temps ? Il faudrait peut être qu’on demande des comptes à ceux qui sont à la tête des régions (ho, 20 sur 22 sont gérées par la gauche...) |
Anonyme le 22 décembre 2009 à 20:11 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’ÉtatPensez à votre vote pour les régionales !!!!! |
Anonyme le 22 décembre 2009 à 19:52 |
Sécurité routière : le mauvais état des routes sans l’ÉtatBonsoir à tous. |