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Avec son demi carénage dévoilant les deux jolies poutres apparentes du cadre de type deltabox, les deux échappements inox et le bras oscillant plus conventionnel, la SL 1000 est moins agressive que son aînée sportive. Ce que démontre aussi le moteur, à la fois moins puissant (118 ch contre 128 pour la RSV en version libre) et plus coupleux. Nous avons essayé le modèle équipé de la puce "bridage à la française". Hélas, il présentait un problème de réglage à bas régime, ce qui ne nous a pas permis de goûter pleinement au couple à bas régime. Par contre passé les 5000 t/mn le twin pousse fort, sans interruption jusqu’à la zone rouge. La vitesse de pointe avoisine les 240 km/h. Pas la moindre vibration, quelque soit le régime. Le twin calé à 60o est très vivant sans être brutal.

La position de conduite
(ou de pilotage) est moins caricaturale. La selle est plus basse et les demi-guidons sont plus haut que la RSV 1000. Les longs trajets peuvent être effectués sans trop souffrir, outre la position, la bulle protège convenablement jusqu’à 140-150 et la selle surprend par son confort (pour une sportive bien sur ;-).

La SL 1000 se place comme un gros bicylindre sport/tourisme, moins exclusive et plus polyvalente que son aînée.

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