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Essai Yamaha T-Max 500 GPL : perf’… Yam T-Max 500 GPL : incognito Yam T-Max GPL : bascule essence / GPL Essai Yam T-Max 500 GPL : ravitaillement Essai Yam T-Max 500 GPL : plein de gaz Essai Yam T-Max 500 GPL : Thomas Bruneel

Comme tous les véhicules au gaz, notre Yamaha T-Max (un modèle 2005) démarre sur l’essence et bascule automatiquement sur le GPL au bout de deux kilomètres, signalé par un léger à-coup du moteur.
- Mis à part quelques soubresauts aux alentours de 3.000 tr/min (question de réglage selon Thomas), il est impossible de faire la différence sur autoroute et sur voies rapides tant les performances offertes sont similaires (cf. mesures du Moto Magazine 244).
- Au bout de 160 km, la jauge digitale signale que la bombonne est vide. Un petit boîtier permet d’un clic de passer en mode essence.
- Le plein est fait avec 10 litres de gaz pour 8 € ! En plus d’être économique, ce procédé porte l’autonomie du scooter à près de 400 kilomètres, puisque le réservoir d’essence est toujours là.

En comparant le coût du super 95 et du GPL sur un mois d’utilisation, à raison de 50 km par jour, le T-Max GPL permet d’économiser 432 € sur une année. Les 2.000 € d’installation sont remboursé sous forme de crédit d’impôt.

Comme tous les précurseurs, l’équipe qui a réalisée cette adaptation (Thomas Bruneel et Vincent Richard) bute sur les méandres d’une administration qui reconnaît fiscalement la démarche (crédit d’impôt) mais refuse d’homologuer la machine.
- La DRIRE* prétextant que si la démarche n’est pas interdite, elle n’est pas autorisée non plus.
- Notre T-Max ne bénéficie donc pas de la carte grise (gratuite) bicarburation, et pose aussi des soucis aux assurances.
- À l’heure où l’on parle beaucoup du pouvoir d’achat et des gaz à effet de serre, espérons que l’État change rapidement la donne.

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