À quoi attribuez-vous cet échec ?
« Nous avions dès le départ un gros problème d’image, de confiance dans les produits et dans les hommes. Vendre des motos, c’est assez simple lorsque l’on respecte certaines règles : l’écoute de la clientèle, et les fondamentaux de la distribution. Mais quand on essaie de vendre de la moto comme de l’immobilier et de l’informatique, ça ne peux pas marcher… »
Quel avenir dessinez-vous aujourd’hui pour Voxan ?
« Quand on est une petite entreprise comme la Sidam, porter un tel projet est difficile. J’ai mis toute mon entreprise à contribution. Aujourd’hui mes employés sont soulagés de cette décision. Nous avons bien d’autres projets en stock… Quant à l’avenir de Voxan, aujourd’hui, je vous le dit clairement : je m’en fous ! »