Le message de la FFMC est clair :

« La crise sanitaire ne freine pas les décisions politiques anti-moto et anti-2 roues motorisés, il n’y a donc pas de raisons que les motardes et les motards se laissent malmener sans broncher ! Nous portons des gants et des casques avec écrans qui jouent parfaitement leur indispensable rôle de protection ! »


Pas d’incidence sur l’accidentalité

Et la FFMC rappelle le contenu du rapport MAIDS qui fait état d’une relation de 0,3 % entre une cause technique et les accidents de deux-roues. De fait, malgré un vote "non" à l’Assemblée Nationale et au Sénat français, bien que la France ait défendu ce "non" au parlement européen, la directive 2014/45/UE a été tout de même votée et préconise la mise en place d’un contrôle technique moto à compter du 1er janvier 2022. Il est toutefois évident, aujourd’hui, qu’aucun des opérateurs ne sera prêt pour une mise en place avant 2023, si la France n’obtenait pas gain de cause dans son rejet du contrôle technique.

De fait, la FFMC rappelle que même en période de confinement, la Ligue des Droits de l’Homme stipule que le droit à manifester est maintenu et appelle donc à des manifestations les 10 et 11 avril, pour dénoncer le lobbying scandaleux des opérateurs de contrôle technique et militer pour que le CT soit remplacé par de l’éducation et de la formation, ce que la FFMC et l’AFDM proposent depuis leurs débuts.

Alors, ces 10 et 11, venez dire "non" avec nous ! Rapprochez-vous de votre antenne départementale de la FFMC pour connaître les modalités de ces manifestations...

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