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Surenchère
La FFMC dénonce cette surenchère réglementaire, « qui consiste à toujours surveiller, culpabiliser et finalement contraindre les usagers, plutôt que de travailler à d’autres alternatives ». Des alternatives orientées vers la pédagogie et la répression, que listent les Motards en colère :

  • donner enfin des moyens à la formation, éternel parent pauvre de la sécurité routière ;
  • freiner la privatisation des autoroutes, réseaux les plus sûrs, mais hélas les plus chers ;
  • prendre en compte les spécificités de circulation des usagers en deux-roues motorisé (2RM), catégorie la plus fragile.

Laissés pour compte
« Les 2RM sont laissés volontairement de côté par le comité des experts, qui ne considère pas ces usagers comme assez nombreux, dénonce la FFMC. Contrairement à la masse des automobilistes, sur lesquels sont basés leurs calculs et leurs théories sécuritaires ».

Partage de la route
« La sécurité routière, ça devrait être le partage de la route, l’apaisement des comportements, l’anticipation… mais avec une sécurité routière au ministère de l’Intérieur, c’est encore et toujours la méthode forte et la répression qu’on retrouve… à l’extérieur », regrette la FFMC.

Colère
Et la Fédération de menacer : « Avec cette annonce, le ministre met les usagers à moto et scooter au pied du mur, alors que la FFMC participait aux discussions engagées par ce même ministre.

Si la discussion est terminée, si elle n’a servi qu’à faire joli, si le bâton est à nouveau de sortie, alors il ne restera aux Motards en colère que ses moyens d’expression traditionnels ». À savoir, descendre dans la rue…

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