Ce fut ensuite l’Esplanade du Jardin Vauban, lieu de forte fréquentation touristique, qui fut pris d’assaut pour rencontrer un public pas toujours au courant des revendications motardes, qui pourtant pour certaines les concernent aussi.

L’avant-dernière pause se fit au niveau de l’Hôtel de ville, à la porte de Paris. Histoire de rappeler à la communauté urbaine lilloise que les revendications de la FFMC n’ont pas changé. Qu’elle attend toujours un geste fort de la part des élus municipaux envers les motards et l’ensemble des usagers de la route.

Les manifestants se sont dispersés place de la République, face à la préfecture, après avoir immolé un radar géant, symbole du racket quotidien qui oppresse les conducteurs et dont il faudra se défaire pour repenser sérieusement l’approche de l’accidentologie et l’éducation routière.

William Tournier, correspondant 59

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