Un CNSR bis ?
Une cinquantaine d’organismes (associations d’usagers, assureurs, des forces de l’ordre, collectivité territoriale, agent de l’État et ministères, représentant des constructeurs…) seront invités, au même titre que le FFMC (seulement deux représentants par structure). Une forte ressemblance avec le CNSR (Conseil national de sécurité routière), dont la FFMC avait jadis claqué la porte, est à mettre en évidence. Espérons toutefois que ce « Grenelle du deux-roues motorisé », comme aime à l’appeler les pouvoirs publics, aboutira à des solutions concrètes pour le monde de la moto et que la parole des Motards en colère n’y sera pas noyée.