La FFMC demande depuis plusieurs années aux gouvernements successifs de rendre légale cette pratique, qui n’est pas dangereuse si le motocycliste respecte un différentiel de vitesse inférieur à 20 km/h avec les automobilistes, et si ces derniers ont appris lors des cours de conduite à intégrer les deux-roues dans leur environnement routier.

Seulement voilà, au nom d’une politique répressive qui contribue à renflouer les caisses de l’État, aucun ministre n’a jamais pris la décision de légiférer dans ce sens. La FFMC appelle les motocyclistes et scootéristes à manifester le 13 mars, afin de défendre cette revendication.

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