Au-delà de la puissance qui fait un bond en avant de 9 ch sur cette Triumph 900 Bonneville T 100 (par rapport à la Triumph 800 Bonneville), c’est surtout l’arrivée précoce d’un couple plus important qui réjouit.
- Plus besoin de jouer de la boîte, par ailleurs un peu dure, pour se relancer en milieu urbain.
- Avec ses 75 cm3 de plus, la Triumph 900 Bonneville T 100 se montre bien plus à l’aise sur route et s’accommode beaucoup mieux des longs trajets, d’autant que la consommation de carburant n’évolue quasiment pas.

Polyvalence : la T 100 se distingue notamment en duo. Son secret ? Une position droite peu fatigante, des repose-pied placés très bas et garnis de caoutchouc. Certes, il manque l’utile poignée du passager au tableau pour mériter le sans-faute.
- Mais la capacité du moteur à se plier à une conduite coulée pallie partiellement cette lacune. En ville, sa finesse qui lui permet de passer dans des trous de souris et son freinage fait bonne figure.
- Mais, une fois sur route, le conducteur peste vite contre la paire d’amortisseurs arrière qui ne garantissent pas le confort des occupants.
- Si la tenue de cap est préservée, les réactions sont sèches.

L’augmentation contenue du prix de vente se fait hélas au détriment de l’équipement (trousse de secours, béquille centrale et poignée passager en option !).
- Mais cette monture valorisante fait preuve d’une plus grande polyvalence que ses rivales directes comme la Kawasaki W 650 et la Harley-Davidson 1200 Sportster.
- À l’efficacité pure et dure des best-sellers du marché, elle oppose des sensations plus subtiles : ronronnement doux et feutré de son bicylindre et élégance d’une ligne ultra-classique.

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