Si l’on est exposé à l’intégralité des intempéries sur un custom ou sur un roadster, on l’est déjà beaucoup moins derrière le généreux pare-brise d’un cruiser et le carénage assez enveloppant d’une sport GT et de certains gros trails routiers. Moins encore sur la plupart des véritables GT, dont les carénages généreux à l’aérodynamique bien étudiée (BMW RT) dévient en roulant la majorité de l’air et de l’eau. Quant aux sportives et autres roadsters semi carénés, tout dépend du niveau d’hypersportivité de la machine.

Bien n’est jamais trop
Piste complémentaire, quel que soit le type de la machine, le choix d’un équipement peut aussi être dicté par l’usage spécifique qui est fait de la moto, et des divers systèmes de protection du pilote (tablier, manchons, pare-mains, etc.) dont elle est dotée. Malgré les progrès réalisés en matière d’ergonomie et de légèreté des matériaux, un suréquipement reste toujours une gêne à la conduite si ses inconvénients sont égaux ou supérieurs au confort qu’il apporte.

L’épreuve à la pluie
Certes, le but reste bien dans tous les cas de figure de ne pas souffrir du refroidissement liquide. Il n’est cependant absolument pas nécessaire d’adopter la même protection pluie pour de courts trajets urbains et même interurbains que pour des parcours routiers de plusieurs centaines de kilomètres.

Pour qui l’aurait oublié, rouler par temps pluvieux, surtout en circulation urbaine dense, requiert une attention très soutenue et des réflexes maîtrisés dont la finalité globale -rester sur ses deux roues- se doit d’être prolongée par une disponibilité et une souplesse physique de tous les instants. Sachant cela, chacun trouvera dans ce dossier les vêtements lui offrant le rapport qualité-pluie qui lui convient.

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